Sujet: Si tu pouvais m'aider avant de rire... [Elisa] Jeu 9 Déc - 22:27
Tyler & Elisa
« Your lips say that you love. Your eyes say that you hate. This truth in your eyes doubt in your faith... »
CRÉDIT - CSS
J’avais passée la nuit chez ma petite amie. On était sortit avant de s’échouer chez elle après s’être bien amusé. Aux premières lueurs de l’aube je m’étais réveillé sans le vouloir à cause du soleil qui filtrait à travers les stores de sa chambre. Je m’étais levé, j’étais sorti du lit avant d’enfiler mon jean pour me fumer une clope sur le balcon. Une sale habitude que j’avais prit depuis que j’étais à l’université. Le stress des examens parait, les sorties entre amis qui ce font de plus en plus fréquente et le fait qu’on à plus si peur de la réaction des parents. Un petit mélange de tout. Enfin, toujours fatigué à cause de ma courte nuit je m’étais retrouvé à fixer la rue toujours endormie alors que je me grillais en lenteur ma cigarette. Bouffé après bouffé alors que je voyais ma ville natal se réveillé petit à petit en douceur et silence. Le temps frais me faisait frissonner mais je n’avais pas envie de retourner à l’intérieure pour m’allonger à côté de ma petite amie. Je préférais rester ici encore quelques instants avant de retourner chez moi. Cependant je n’avais pas prévu que la jeune femme allongé dans son lit se décide à venir me rejoindre dehors. La saluant avec une joie un peu forcée je n’avais pas le cœur à ça ce matin là. Enfaîte je ne savais pas trop à quoi j’avais le cœur. Pas à ça en tout cas. L’embrassant brièvement en guise d’au revoir j’attrapais mes affaires prétextant un devoir de critique à rendre pour bientôt à ma peau de vache de prof’. Enfilant mon t-shirt noir qui trônait sur le sol je l’enfilais en coup de vent avant de retourner embrasser ma copine tout en lui disant que je l’aimais. Je dévalais alors les escaliers qui menaient à l’appartement de ma belle avant de me retrouver en rue. Respirant à plein poumon l’air frais de ce début de mâtiné j’allumais mon Ipod afin de me changer les idées. Le mensonge devenait de plus en plus une part intégrante de ma vie. Que ce soit vis-à-vis de mon père, ma copine ou même mon meilleur ami. Celui à qui je me dois de tout dire. Et pourtant je lui mens, je lui mens et pire que cela je laisse sa copine le trompé avec moi. Sans jamais rien faire pour lutter qu’exposer quelques remarques sans réelle portée. Il est tellement plus aisé de se laisser emporter par la vague que de la braver. Il s’agissait d’un choix de faciliter, mais il est dès éléments contre lesquelles on ne peut lutter. Le cœur en fait parti. La raison n’est qu’une faible résistante face aux affres que celui-ci fait subir à qui il dirige sans vergogne.
Arrivant enfin chez moi il était encore bien tôt. Pas plus de huit heures à vrai dire. La maison plongé dans le noir me laissait supposer que mon père et Elisa était en train de dormir. Soupirant je cherchais une clé pour rentré dans mes poches ou dans ma veste en cuir, mais ne la trouvant pas je compris que j’avais dû l’oublier chez Candice. Autant dire que j’avais l’air malin devant chez moi à chercher un moyen de rentrer. Me décidant finalement de ne pas attendre comme un imbécile je retirais ma veste tout en faisant le tour avant de m’accrocher à la gouttière pour essayer de monter. Je me souvenais l’avoir fait par le passé, mais lorsque je posais finalement ma main sur le rebord de la fenêtre de ma sœur (et non de la mienne par une erreur de calcule), je sentis alors la gouttière commencé à se décrocher du mur et je me retrouvais suspendu à quelques mètres du sol parce que comme un idiot j’avais voulu faire le malin. Poussant un soupire je tirais sur mes bras afin de trouver une prise pour mes pieds histoire de ne pas tomber dans le vide non plus. Trouvant finalement une position plus ou moins adapté pour tenir sur la façade arrière de l’habitation je toquais quelques coups à la fenêtre. On pouvait être sur que si mon père me voyait il rigolerait avant de me dire que je n’avais qu’à réfléchir plus avant de me lancé tête baissé comme un imbécile. Pas sur qu’Elisa soit dans sa chambre malgré l’heure matinale j’haussais le son : « Elisa !! Elisa ouvreee, la fenêtre pas la porte la fenêtre. » J’avais dis cela sans réellement réfléchit. A sa place si j’avais entendu qu’on m’appelait j’aurais ouvert la porte avant de penser à la fenêtre. Me débattant contre le vide sous mes pieds je commençais sérieusement à avoir du mal à tenir. J’attendais avec énormément d’appréhension de voir quelqu’un m’aider à me sortir de ce mauvais pas. Bien que je fus sur qu’en y repensant, une fois que je serais sain et sauve avec un sol sous mes pieds, j’en rirais jusqu’à pleuré. Cependant là tout de suite je pensais plus à sauver ma peau. Finir en Tyler écrasé ne me donnait pas envie. Enfin, chacun ses goûts.
❝ Elisa Chevalier ❞
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Sujet: Re: Si tu pouvais m'aider avant de rire... [Elisa] Jeu 9 Déc - 23:11
tyler et elisa chevalier would you lie with me and just forget the world?
Je voyais des images floues qui passaient comme des éclairs devant mes yeux. Une envie de vomir me submergea sans que je ne puisse prendre gare. Saloperie de soirée. Encore une superbe idée de Julien, ça. Je n'avais pas l'habitude de boire et, contrairement à ce que je me plais à raconter, je ne tiens pas bien l'alcool. Pas bien du tout, même. J'avais la tête qui me tournait, bien que mon état ne soit pas grave au point de pouvoir apercevoir des éléphants roses qui dansaient la macaréna devant mes yeux. Je soupirai et me décidai enfin à me relever après avoir passé la moitié de la nuit assise à côté des toilettes en cas de remonter gastrique. Très charmant, comme toujours. C'était Julien qui m'avait raccompagné, avec la bénédiction de mon père. Benjamin en avait profiter pour me passer un savon, chose qu'il se faisait une joie de faire à la moindre occasion. Je ne comprendrais jamais pourquoi il s'acharne ainsi sur moi : si c'était Tyler qui était rentré ainsi, il serait resté à son chevet pour prendre soin de lui toute la nuit. Moi, j'avais juste eu le droit de me démerdé. Il n'avait même pas voulu que mon petit ami reste avec moi pour me tenir compagnie et veillé à ce que je ne me trompes pas de pièce, que je ne me prennes pas le premier mur, que je ne tombes pas par le balcon ou encore que je n'ailles pas dormir dans le panier de mon chien tandis que lui profiterait au maximum de mon pitoyable état en allant se lover dans mon lit, sur mes oreillers. Comme à chaque fois que me venait la superbe idée de boire un peu plus que ce que mon corps était en état de supporter, je me jurai de ne plus jamais recommencer ça, du moins jusqu'à la prochaine soirée à laquelle Julien m'emmènera. Julien, c'était le genre de type à braver les interdits pour sa chère et tendre. Du moins, c'est ce qu'il se plaisait à raconter à qui voulait l'entendre. Cette nuit fut pour lui le moyen d'illustrer ses dires et de me prouver, comme il le dit si bien, qu'il m'aimait comme un fou. Trop saoul pour me rendre compte de l'importance de ses mots, je ne répondis rien. Il passa une grande partie de la nuit à mes côtés, tenant mes cheveux quand j'étais sur le point de rendre le mélange vodka/manzana que je m'étais engloutis, me prenant dans ses bras pour que je puisse dormir, m'empêchant de me ramasser dans les escaliers en allant me chercher de quoi boire et manger un morceau. Cependant, il dut quitter sa charge de chevalier servant dans les alentours de sept heures et demi, avant le réveil de papa Chevalier. Si Benjamin l'avait prit en flagrant déli de galanteries avec moi, je soupçonnes que ses parties génitales, plus communément appelées bijoux de famille, n'auraient pas fait long feu. Quoi qu'il en soit, il me fallut attendre près d'une demi-heure avant de réussir à me lever pour bouger mes fesses et retourner dans mon lit. Un miroir faisait face à la porte de chambre. Comme je l'aurais bien deviné, je n'avais pas bonne mine. Le noir de mes yeux avait dégouliné et me donnait à présent un aspect de.. Panda. Un petit panda tout fin et tout fragile, tout fatigué et tout endormi. Sans plus attendre, je fis demi-tour et je retournai dans la salle de bains pour me démaquiller tant bien que mal sans finir avec la lingette dans l'oeil. J'avais beau être de nature habile en tant normal, quand j'avais ce que l'on appelle la gueule de bois, c'était une toute autre histoire. J'étais digne d'une satire de Molière ou de William Shakespeare. Une fois le visage raffraichit et l'air de panda rabougri disparu, je me déshabillai de façon à rester qu'en sous-vêtements, Julien ayant prit sa douche avec moi, avant de partir fouiller dans l'armoire de Tyler et d'en sortir un de ses shorts de bains et de l'enfiler. Le bas aux couleurs multiples et pétantes avait beau être deux à trois fois trop grand pour moi, c'était de loin celui que je préférais piquer en douce à mon ainé. Puis je me décidai à retourner dans ma propre chambre avant de sortir de mon armoire un t-shirt masculin appartenant cette fois-ci à mon copain. Puis, sans prendre gare, je me laissai tomber dans mon lit, sombrant dans un semi-sommeil.
J'ignore combien de temps je fus restée endormie, comateuse, mais je fus tiré de mon sommeil par une voie familière. Très familière même. Elisa! Elisa ouvre! Mon premier réflexe fut de m'approcher de ma porte de chambre. Tandis que je posais ma main sur la poignée, n'ayant pas le moins du monde conscience d'avoir refermé derrière moi après avoir regagné ma chambre, j'entendis la voix de Tyler reprendre. La fenêtre, pas la porte! La fenêtre! Je levai les yeux au ciel, pensant que c'était mon imagination qui me jouait des tours. Cependant, le timbre que j'avais étendu était parfaitement identique à celui de mon frère et, prise d'un doute soudain, je gagnai la fenêtre de chambre. Ne voyant rien de spécial, je fus tentée de retourner me coucher. Mais je me sentais coupable, étrangement coupable. J'ouvris donc et je peux voir Tyler qui s'accrochait à la rembarre en essayant de ne pas tomber. Mon temps de réaction étant multiplié par vodka fois dix, je ne pris pas tout de suite compte de la situation délicate dans laquelle il se trouvait. Mais, quand un éclair de lucidité traversa mon esprit, je ne pus m'empêcher d'eclater de rire tout en tendant ma main à Tyler pour le remonter. Tandis que je le tirais pour le faire rentrer dans la chambre, je ne pus m'empêcher de faire une remarque déplacée. Putain mais t'as grossi c'est pas possible! Il me fallut un certain temps pour réussir enfin à le rentrer à l'interieur de la maison. Essoufflée, je me laissai tomber dans mon lit. Puis, au bout que quelques minutes, je repris la parole. Je paris que tu as laissé tes clefs chez ta cruche de nana. Non, je ne pouvais pas la supporter, la Candice. Depuis que je la connaissais, son visage ne me revenait pas. D'autant plus depuis un an, depuis que la relation avec Tyler se soit.. Complexifiée. Jamais je n'avais eu autant honte de mon deuxième prénom, jamais. Tout en me redressant sur mes coudes, j'adressais un regard malicieux et un sourire complice à Tyler. Benjamin est parti bosser tôt ce matin et moi, j'attends ma récompense pour t'avour repêché.. Je lui fis un clin d'oeil.
❝ Tyler C. Chevalier ❞
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Sujet: Re: Si tu pouvais m'aider avant de rire... [Elisa] Ven 10 Déc - 16:02
Tyler & Elisa
« Keep me safe inside. Your arms like towers, tower over me. Cause we are broken, what must we do to restore our innocence ? »
CRÉDIT - CSS
M'accrochant comme je pouvais à la façade et le rebord de la fenêtre de ma chère soeur je faisais de mon mieux pour ne pas lâcher histoire de ne pas m'écraser. Appellent la jeune femme j'espérais sincèrement qu'elle se trouvait dans sa chambre à dormir. Puis si ce n'était pas le cas j'étais bon pour me casser quelque chose. Voyant quelqu'un à la fenêtre j'aurais presque louer les dieux, quels qu'ils soient, de m'avoir sauver de ce mauvais pas. Cependant ma chère soeur que je maudissais sur le coup se retourna comme pour retourner dormir. Je m'apprêtais à recommencer à l'appeler lorsque je la vis finalement ouvrir la fenêtre. Sur le coup je ne pu m'empêcher de pousser un sourire de soulagement alors que je n'étais même pas sortit d'affaire. Lorsque je vis Elisa me fixer comme extraterrestre, semblant être à des années lumières de comprendre que j'avais besoin d'aide de toute urgence, je me dis que j'allais finir par y passer qu'il fallait que je me résigne à mon triste sort. Je m'imaginais déjà bien un bras ou une jambe dans le plâtre, tout ça à cause d'une foutue clé que j'avais oublié chez Candice. Une fois mais pas deux, quitte à me greffer le porte clé sur la poitrine, je n'oublierais jamais plus mes clés. Ou plutôt je n'aurais plus jamais l'idée saugrenue de monter comme un héro de film hollywoodien. Je me demandais si elle allait finalement comprendre que j'avais peut-être envie qu'elle m'aide histoire de rentrer, ou si elle allait attendre et me regarder tomber sans bouger. La voyant se rendre compte finalement qu'elle devait faire quelque chose c'est avec joie que j'attrapais sa main et avec un petit peu moins de facilité que j'essuyais son doux rire cristallin qui se foutait royalement de ma tronche. Alors qu'elle me tirait pour me faire rentrer à l'intérieure je m'aidais de mon bras gauche à moitié à l'intérieure pour me hisser avec le plus de force possible. C'est alors que ma chère soeur adoré que j'aime tant me fis une remarque des plus vexante : "Putain mais t'as grossi c'est pas possible!" Tirant sur sa main et sur mon deuxième bras mes pieds battait l'air dans le vide alors que petit à petit je me retrouvais à l'intérieure. Me ramassant finalement au sol, je restais allongé sur celui-ci trop heureux d'avoir enfin autre chose que mes bras pour me supporter. En rajoutant des tonnes j'annonçais la chose d'un ton s'appelle une pointe de regret dans la voix : " A partir d'aujourd'hui c'est fini les desserts ! Promis ! "
Toujours étendu sur le sol, je me redressais finalement pour me retrouver assis au milieu de la chambre d'Elisa alors que celle-ci se trouvait allonger sur son lit. Ses yeux étendu autour de son visage, j'affichais un léger sourire avant qu'elle ne s'en prenne à ma petite amie. "Je paris que tu as laissé tes clefs chez ta cruche de nana." Poussant un léger soupir je levais les yeux au ciel. Entre nous c'était compliqué. Elisa avait son caractère, ses avis bien tranché et moi de même. Cependant elle ne pouvait jamais s'empêcher d'en rajouter une couche dès lors qu'il s'agissait d'abaisser Candice. Sincèrement je crois qu'elle n'a jamais réellement pu accepter le fait que je sortais avec elle. Depuis qu'on s'était mis en couple, mais depuis un an c'était juste l'apogée de la chose. Une véritable horreur à subir à vrai dire. Enfin il fallait bien que je fasse avec l'affreusement horripilante et dérangeante tendance qu'à Elisa de rabaisser celle avec qui je sortais depuis trois ans. Je ne pouvais pas cautionner ce qu'elle disait, mais je ne pouvais pas non plus lui en vouloir. Alors je me devais juste d'ignorer. Ce que je fis tout en me levant. J'avais bien envie d'aller me boire une tasse de café, ma nuit n'avait pas particulièrement été courte et toute cette agitation m'avait donné envie de dormir. Rien de mieux pour lutter contre le sommeil qu'une bonne tasse de café. Frottant mes vêtements histoire qu'il n'y ai pas de poussière, j'entendis le froissement des draps du lit de ma soeur alors qu'elle bougeait pour se redresser sur ses coudes. Posant mon regard sur elle la couvant avec ce mélange de tendresse fraternelle et d'amour irrationnel qui nous caractérisait si bien. "Benjamin est parti bosser tôt ce matin et moi, j'attends ma récompense pour t'avoir repêché.. " La regardant en souriant amusé je fis un pas vers le lit avant de me pencher vers elle. Mes yeux perdu dans le regard troublant de la belle je ne pouvais réprimer le sourire qu'elle faisait naître sur mes lèvres à sa simple vue. Trop proche que pour que ça ne signifie rien je continuais à la fixer dans les yeux avant de lui répondre : " Parce que tu ne m'aurais pas aider sans une possible récompense ? Je croyais que tu tenais trop à moi que pour me laisser mourir en tombant." Souriant de toute mes dents je vins déposer avec douceur mes lèvres sur les siennes avant que je ne me sente tirer vers le lit. Déstabiliser par la chose je posais mes mains de part et d'autre de ma soeur ingénue me retrouvant à moitié allongé sur elle. Notre père n'était pas là ce matin et nous pouvions faire ce que bon nous semblait, puis j'avais très bien comprit le clin d'oeil qu'elle m'avait offert qu'elle instant plus tôt. Me reculant quelques peu pour m'allonger correctement sur le lit, d'un coup de pied habile je retirais mes chaussures les faisant tomber avec beaucoup de bruit sur le sol. Tournant mon visage vers Elisa je me mordillais légèrement la lèvre inférieure dans une vague d'appréhension qui me prenait parfois alors que je me disais que je m'engageais à nouveau sur une mauvaise route. Pourtant, malgré se légèrement pincement au coeur, ces doutes qui m'assaillirent l'espace de quelques secondes je me repris en train de fondre face au regard de ma benjamine. Impossible de lutter face à cela, céder était tellement moins douloureux que de prendre les armes pour un combat perdu d'avance. Posant à nouveau mes lèvres sur celles de la belle j'approfondissais passionnément le baiser cette fois. J'en oublias ma petite amie, son petit ami celui-ci même qui était mon meilleur ami. J'en oubliais le sang qui coulait dans nos veines et qui représentait une barrière que nous ne pourrions jamais abattre. J'en oubliais la raison, cette maîtresse de navire qui chez moi avait depuis longtemps perdu la maîtrise des voiles. J'en oubliais tout, de notre père, de notre nom, toutes ces choses qui nous éloignaient et qui pourtant n'arrivaient pas à nous garder loin l'un de l'autre. Tout ça l'espace d'un baiser, le temps d'une étreinte éternel ou nos haleines emmêlé ne pouvaient plus s'éteindre.
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Sujet: Re: Si tu pouvais m'aider avant de rire... [Elisa]
Si tu pouvais m'aider avant de rire... [Elisa]
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